Articlesqui font réfléchir ou méditer, qui donnent des idées et des pistes pour cultiver son mieux-être au quotidien, Corps & Santé vous accompagne sur ce joli chemin bienfaisant, celui de la sérénité et du sourire intérieur La rubrique Bien-être de Corps & Santé : Oui ! le bonheur se prend en main ! Bien sûr, certaines choses
Quela santé vous accompagne et nous permette d'affronter 2022 avec espoir". Ivana, capitaine de l'équipe, a conclu: "Au nom des joueuses du Real Madrid, joyeuses fêtes. Unis nous sommes plus
Coachpersonnel et professionnel spécialisé en. Je m’appelle Fabian Bourges, je suis coach spécialisé en Neurosciences motivationnelles et Mastercoach basé sur Cavaillon dans le sud de la France. J’utilise ce que révèle les dernières recherches en Neurosciences au service de mes coachings pour une efficacité optimale. Lire plus.
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Oui, le bonheur et la grâce m’accompagneront Tous les jours de ma vie » Psaumes 23:6. David déclare le besoin et la certitude qu’il a de jouir toute sa vie de la
manon11000, Posté le samedi 13 janvier 2018 08:52 Bonjour mon ami(e). Le soleil et timide cette journée. Voici un super café pour te réchauffer. Je pense que tu va
Noubliez pas que vieillir ne rime pas avec maladies, douleurs et agonie. Si vous prenez soin de vous jeune alors vous prenez soin de votre futur. Le bien-être commence par le bonheur et que le bonheur vient grâce à la santé. Ici, je vous propose un combo de bien-être : coaching nutrition et style de vie sain, coaching perte de poids
Desannées d’essais ont prouvé que son intuition était bonne. Avec la régie de traite partielle qu’il a développée pour les premiers jours de lactation, la santé des vaches s’améliore grandement. Pierre a démontré qu’avec des traites partielles, seulement 6 % des vaches souffrent d’acétonémie, par opposition à 47 % avec
vœuxde bonheur, de santé et de prospérité. Que la paix et la joie vous accompagnent tout au long du temps des fêtes! Passez un très joyeux Noël et une bonne et heureuse année 2009 La direction Le bulletin d’information L’AVAL, édition électronique • 17 décembre 2008 • Volume 4, No 8 1 15
Ehbien, selon l’Organisation mondiale de la santé, la santé mentale est un état de bien-être dans lequel l’individu est capable d’utiliser ses propres capacités, de se remettre d’un stress routinier, d’être productif et de contribuer à sa communauté. Mais nous savons très bien qu’elle est beaucoup plus complexe que cela.
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Et pour les autres, nous traduisons ses conclusions sur le bonheur dans la Lettre d’aujourd’hui. Bonjour à tous, Une récente étude conduite auprès de jeunes étudiants a montré que pour 80% d’entre eux, un des buts essentiels de la vie était de devenir riche. Et pour 50%, un des autres buts importants était de devenir célèbre. Il est vrai que nous sommes poussés à nous investir toujours plus dans notre travail, à produire plus, à gagner plus. Et cela nous donne l’impression qu’il s’agit bien là des buts essentiels à poursuivre pour réussir sa vie. Mais s’agit-il réellement des bons objectifs à atteindre pour être heureux ? C’est ce que nous avons cherché à savoir, et voici d’abord comment nous avons procédé. Gros risques D’un point de vue scientifique, il est difficile d’obtenir une photographie complète de la vie d’une personne, de ses choix, des résultats qu’ils ont entraîné. La majeure partie de ce qu’on sait de sa vie, on l’obtient en demandant à cette personne de nous le raconter. Et là…La sagesse rétrospective n’est pas une science exacte. Et puis nous oublions tous de nombreuses choses que nous avons vécues. Sans compter que la mémoire nous joue parfois des tours et qu’elle aime bien aussi…un peu enjoliver. Mais imaginez maintenant qu’on puisse suivre la vie d’une personne au fur et à mesure qu’elle se déroule. Qu’on puisse l’étudier depuis l’adolescence jusqu’au troisième âge pour voir ce qui réellement, rend les gens heureux et en bonne santé, tout au long de leur vie. Il se trouve que c’est ce que nous avons fait. L’étude de Harvard, The Harvard Study of Adult Development, est sans doute la plus longue étude consacrée à la vie adulte et au bonheur jamais réalisée dans l’histoire de la science. Depuis 75 ans, nous avons suivi la vie de 724 hommes, année après année, les interrogeant sur leur travail, leur vie de famille, leur santé, leurs craintes, leurs joies etc. Ce genre d’études est extrêmement rare, et la probabilité qu’elle se poursuive dans le temps est infime. Il y a d’abord le risque que trop de personnes refusent de poursuivre , ou que les fonds pour la mener s’épuisent, ou encore que les chercheurs s’ennuient à la conduire, ou meurent, sans être remplacés. Mais avec un peu de chance – et pas mal d’obstination nous avons réussi à poursuivre notre étude. Aujourd’hui 60 des 724 hommes du départ sont encore en vie et y participent toujours. Nous commençons même à faire rentrer dans notre panel les enfants de ces hommes il y en a 2000 en tout et je suis moi-même le quatrième directeur du projet. Depuis 1938, nous avons ainsi analysé dans le détail la vie de deux groupes d’hommes. Le premier était composé de jeunes étudiants de première année à Harvard. Ils ont terminé leur scolarité pendant la deuxième guerre mondiale, et la plupart d’entre eux sont allés à la guerre par la suite. Le deuxième groupe a été constitué de garçons issus des quartiers les plus pauvres de la ville de Boston et qui avaient été choisis précisément pour leurs origines ; la plupart vivait dans des baraquements sans eau courante. Au début de l’enquête, ces garçons des deux groupes ont tous été examinés par un médecin, les chercheurs sont allés les interviewer chez eux, parler à leurs parents. Et puis tous ces jeunes hommes sont entrés dans la vie active. Certains sont devenus ouvrier, d’autres avocat, maçon ou médecin. L’un d’eux a même été Président des Etats-Unis. Certains ont sombré dans l’alcool, d’autres ont souffert de schizophrénie, l’ascenseur social a profité à quelques-uns, d’autres sont redescendus avec lui… Comportement très toxique Les initiateurs de cette étude sur le bonheur n’auraient jamais imaginé, même en rêve, que je serais là à vous dire que leur travail se poursuit. Car aujourd’hui encore, notre équipe continue d’interroger les hommes de notre échantillon sur leur vie. En réalité, nous faisons plus que simplement leur poser des questions. Nous allons chez eux, dans leur salon, leur cuisine, nous étudions leur dossier médical. Nous parlons à leurs enfants, leur femme, nous les filmons dans leur vie quotidienne et leurs préoccupations les plus personnelles. Alors, qu’avons nous appris ? Quelles sont les leçons que l’on peut tirer des dizaines de milliers de pages d’informations récoltées ? C’est en réalité très simple. Le bonheur n’est pas une affaire de travail, d’argent, de célébrité, contrairement à ce que pensent si souvent les jeunes gens. Ce qui rend heureux et en bonne santé, ce sont des relations bonnes et sincères avec les autres. Point. Pardon d’être un peu direct mais c’est ainsi. Nous avons appris trois grandes leçons sur les relations aux autres. La première est que le fait d’interagir avec d’autres humains est bon pour nous. Il se trouve que les gens qui ont plus de relations avec leur famille, leurs amis, sont plus heureux et en meilleure forme physique que les autres. Ils vivent également plus longtemps. La solitude, elle, est réellement toxique. Les personnes qui vivent plus isolées qu’elles ne le souhaiteraient ont une santé qui décline plus tôt, souvent dès la quarantaine, et des performances cognitives qui diminuent elles aussi prématurément. Etonnant secret anti-âge Mais attention, la solitude, ce n’est pas forcément vivre tout seul dans une maison au fond des bois. On peut être seul dans une foule, seul au milieu de ses collègues de travail ou dans son mariage. Voilà la deuxième grande leçon de notre étude c’est la qualité de la relation avec les autres qui compte. Pas le fait que vous ayez beaucoup d’amis ou que soyez très entouré. Lorsque les hommes de notre échantillon ont atteint l’âge de 80 ans, nous avons voulu regarder en arrière, lorsqu’ils avaient 50 ans, pour savoir si nous aurions pu prévoir qui allait devenir un octogénaire heureux et en bonne santé, et qui ne le serait pas. Lorsque nous avons rassemblé tout ce que nous savions d’eux à cet âge-là, il se trouve que ce n’est pas leur taux de cholestérol ou leur alimentation qui allait se trouver déterminant pour prévoir leur bonheur à venir. C’est leur degré de satisfaction dans leurs relations aux autres. C’est la troisième leçon de notre enquête de bonnes relations ne protègent pas seulement notre corps, mais aussi notre esprit. Ainsi, deux membres d’un couple qui ont réellement l’impression qu’ils peuvent compter l’un sur l’autre ont une mémoire qui reste excellente plus longtemps. Vous allez me dire 75 ans d’étude pour arriver à une conclusion que la sagesse ancienne avait tirée depuis longtemps… C’est vrai. Mais je vous pose alors la question pourquoi continuons-nous d’ignorer cette idée si simple qu’entretenir de bonnes et sincères relations d’amour, d’amitié, est le secret profond du bonheur et de la santé ? Sans doute parce que nous sommes humains. Que nous comptons sur un truc, une aide extérieure, une béquille comme un médicament, de l’argent, la gloire, quelque chose qui nous aidera à régler les problèmes lorsqu’ils se posent et à les stabiliser une fois pour toutes. Cela, je préfère vous le dire, ne fonctionne pas. En revanche, créer et entretenir des relations sincères suppose d’accepter le doute, la difficulté, l’échec. Cela demande du temps, c’est le projet d’une vie et cela ne finit jamais. Mais c’est la meilleure façon d’être heureux. » Et vous trouvez ça intéressant ? Ici s’achève la conférence de Robert Waldinger et je sens que certains penseront peut-être Tout ça pour ça !!! 75 ans d’étude pour conclure que nous avons tous besoin des autres pour être heureux… Et Florent Cavaler qui trouve intéressant d’en faire une lettre entière. Mais de qui se moque-t-on?». Je dois dire que je vous comprends un peu. C’est vrai que nous nous savons tout cela instinctivement. Mais combien de fois par heure, par jour, par semaine, se déconnecte-t-on totalement de cette vérité si simple ? Pour se focaliser sur des questions secondaires qui nous obsèdent, l’argent, la consommation, la possession, la reconnaissance sociale etc. Alors une fois de temps en temps, il n’est pas inutile de réveiller ces vérités enfouies, de les faire tourner un peu dans nos têtes et pourquoi pas, d’en tirer vraiment des conclusions pour nos vies de tous les jours. Et puis sur un sujet aussi important que celui du bonheur, je serais intéressé que vous nous fassiez partager vos expériences. Vous-même, qu’est-ce qui vous rend heureux ? Est-ce que vous arrivez aux mêmes conclusions que les scientifiques de Harvard, ou ont-ils encore des choses à découvrir ? Merci mille fois par avance à tous ceux qui voudront bien prendre le temps de réagir, en laissant un message dans les commentaires au bas de cet article. Amicalement, Florent Cavaler
Et, le bonheur c’est la santé, la famille, l’amour, les amis… Serait-ce lucide de croire que le bonheur, c’est aussi le travail?! Certains chercheurs ont essayé de quantifier la relation bonheur-travail ». Une étude, financée par la fondation Russell Sage sur la qualité de la vie aux Etats-Unis, a découvert que la satisfaction dans le travail représente 20% de la satisfaction globale de l’existence. Trop d’auteurs décrivent le bonheur tel un concept énigmatique digne d’une transe neuro-mécanique ». Et oui, c’est à n’y rien comprendre! Avide d’une approche pragmatique sur la notion qu’est le bonheur, je me suis retournée vers un homme qui m’a toujours inspirée; Tenzin Gyatso, que plusieurs connaissent probablement mieux par son titre, le Dalai Lama. Les multiples entrevues du Dalai Lama par le psychiatre et neurologue Howard Cutler ont, entre autre, donné naissance à deux succès littéraires; L’art du Bonheur I & L’art du bonheur II ». Dans L’art du bonheur I » le Dalai Lama discourt sur comment vaincre l’anxiété, diminuer les colères et le découragement. Dans L’art du bonheur II », il approfondit l’exploration de ces émotions en abordant la plus courante des activités humaines, celle qui occupe une grande partie de notre vie le travail. Pour en résumer l’essence primaire, la relation entre le bonheur et le travail se traduit principalement par la connaissance de soi, trouver son équilibre et avoir la bonne attitude. La connaissance de soi et l’équilibre L’environnement professionnel et les fonctions influencent le bien-être au travail. Cet environnement fait principalement référence à la localisation géographique du lieu de travail, aux collègues et supérieurs, l’espace de travail et les avantages sociaux. Quant aux fonctions, il importe de savoir se positionner entre le défi et l’ennui dont la perception est personnel à chacun. Trop de défi créé un stress qui affecte l’environnement de travail alors que si le défi n’est pas suffisant, cela créé un sentiment d’ennui. Dans cette recherche d’équilibre défi-ennui », la connaissance de soi devient un facteur très important. Il existe souvent un fossé entre la manière dont nous semblons exister et celle dont nous existons réellement. Il est donc important de prendre le temps de s’arrêter pour identifier ses signatures de force; ses qualités et caractéristiques naturelles. L’utilisation de ses signatures de force va permettre d’effectuer le travail avec une meilleure efficacité tout en demandant moins d’effort. Avoir une conscience réaliste de soi signifie également connaitre ses propres limites. L’excès, tant en termes d’exagération que de dévaluation de ses capacités, est toujours destructeur. La raison est qu’une vision réaliste de soi donne de l’assurance. Vous savez ce dont vous êtes capable et aussi, où se trouvent vos limites. Vous êtes donc moins atteint par ce que disent les autres. Donc, si quelqu’un vous critique et que vous savez que ces critiques sont justes, vous les accepterez plus facilement. Et, si quelqu’un vous critique injustement, vous le prendrez moins mal parce que, au fond de vous, vous saurez que c’est faux. Cette connaissance permet également d’augmenter les chances de réussite parce qu’elle vous donne la confiance pour vous lancer dans des projets réalisables. Enfin, on parle souvent de reconnaissance et c’est important. Toutefois, si une personne est consciente de ses capacités, elle a moins besoin de l’éloge des autres pour avoir le sentiment d’accomplissement. Nous avons la capacité d’influencer la majorité de ces aspects et nous avons surtout la responsabilité de s’arrêter pour avoir une réflexion à ce sujet afin d’y trouver son équilibre. L’attitude Un aspect qui permet d’accentuer notre bonheur au travail est le sentiment d’accomplissement. Donc, si on cherche à favoriser ce sentiment, l’attitude envers son travail devient un facteur déterminant. Il y a 3 façons de percevoir son travail un job, une carrière, une vocation. Un job Le but principal est le salaire. La nature du travail importe peu ou pas et elle ne procure aucun plaisir ou sentiment d’accomplissement. Puisque le principal aspect est le salaire, si le salaire baisse l’intérêt baisse aussi. Si l’opportunité d’un autre job avec un meilleur salaire se présente, la personne changera de travail. Il n’y a donc aucun sentiment d’appartenance et le travail est réduit à un enchainement de mouvements robotiques ! » Une carrière Le but principal est l’avancement. Ces gens sont motivés par le prestige, le statut social et le pouvoir qui accompagne la fonction. Dans cette catégorie, l’investissement personnel peut être supérieur à ceux qui considèrent leur travail comme un job. Toutefois, à l’instant que s’arrête les possibilités d’avancement, il y a une perte d’intérêt. Une vocation Dans la vocation, le travail est aimé pour le travail en soi. La vocation sert à un but supérieur et il a une valeur significative. Le concept de vocation est donc lié à l’idée qu’il existe un but supérieur à leur travail comme le bien être des autres ou de la société. Les gens qui ont une vocation pour leur travail ont tendance à être plus stable et satisfait que ceux qui n’y voient qu’un job ou une carrière. L’attitude d’un employé envers son travail a donc un impact direct sur sa satisfaction que lui procure son travail et par le fait même, son bien-être. Cette division dans la perception du travail se retrouve quel que soit le domaine professionnel ou la classe sociale dans lequel nous évoluons. Il y a toujours possibilité de trouver un sens à notre travail, ne serait-ce que de remplir son rôle comme bon citoyen, membre productif de la société qui contribue à son bien-être. Il revient donc à nous de prendre le temps de discerner un but supérieur à notre travail et d’y réfléchir. Marie-France Marcotte
Le Pr David Khayat, cancérologue et chef du plus grand service d’oncologie médicale cancérologie de France, à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, raconte dans son dernier livre [1] Pendant de nombreuses années, je dois le reconnaître, j’ai été assez réfractaire à l’idée que le stress, le malheur, la tristesse puissent être à l’origine du cancer. Mais aujourd’hui, j’ai changé d’avis. Oui, j’ai l’intime conviction que notre vie spirituelle interfère avec notre ADN et est susceptible, selon, d’être prophylactique protéger contre le cancer ou, au contraire, terriblement délétère ! favoriser le cancer. » Thierry Janssen, chirurgien urologue, dit la même chose L’influence pathogène d’émotions négatives comme la tristesse, l’anxiété ou l’hostilité n’est plus à démontrer. De plus, on sait que le stress accompagnant les émotions négatives provoque une activation du système nerveux lymphatique et une mise en tension de l’organisme qui, à force, usent le système cardiovasculaire, diminuent les défenses immunitaires et perturbent un ensemble de régulations hormonales indispensables au bon fonctionnement du corps. » [2]Vous avez bien lu la tristesse, l’anxiété, l’hostilité rendent malade. Elles abîment physiquement votre cœur. Elles détruisent vos défenses naturelles. Elles affaiblissent tout votre organisme en vous privant de bonnes hormones. Autant que la nutrition et les plantes, vos émotions sont essentielles pour rester en bonne bonheur, votre meilleur médicamentEn 2007, une étude menée par le Dr Kubzansky à Harvard a montré que l’enthousiasme et l’espoir des gens heureux réduisent le risque de maladies coronariennes artères du cœur. [3] Elle a montré que les enfants heureux qui sont capables, à l’âge de 7 ans, de faire leur travail avec enthousiasme et concentration auront moins de maladies et une meilleure santé générale, y compris trente ans plus tard. Les effets se prolongent donc vraiment toute la vie. En 1979, une autre étude de Harvard avait déjà montré que les adultes joyeux ayant de bons rapports avec leur entourage avaient plus de deux fois moins de risque de mourir dans les neuf années suivantes. Une étude de la Mayo Clinic, lancée dans les années 60 et poursuivie pendant près de 30 ans, a montré que les personnes optimistes vivaient en moyenne 19 % plus longtemps que les pessimistes, qui plus est avec des capacités physiques et une qualité de vie meilleures ! [4] Cela peut représenter près de 20 ans de vie en plus ! Une étude de 2003, a montré que les pensées positives réduisent le risque de virus [5].Le même type d’effet préventif a été observé pour l’hypertension artérielle et le diabète [6]. On estime généralement que le rôle des émotions positives dans le maintien d’une bonne santé est comparable à celui du tabac dans l’apparition d’une mauvaise santé. [7] On ne se nourrit pas qu’avec la bouche Chaque jour, nous faisons plusieurs repas pour nous nourrir et alimenter notre corps en énergie. Nous choisissons volontiers des aliments bio, sains, et savoureux. Nous voulons offrir à notre corps toute l’énergie et les éléments essentiels pour rester en bonne santé vitamines, protéines, glucides, sels minéraux, oligoéléments, etc. Mais notre cœur et notre intellect que leur donnons-nous à manger » ?De quelles émotions les nourrissons-nous ? Quelles sont les pensées, quelles sont les informations et réflexions que nous y faisons entrer ? Sont-elles toxiques ?? Certaines émotions nous font du bien, tandis que d’autres nous perturbent, nous n’arrivons pas à les digérer ». Certaines informations nous éclairent, nous font grandir et avancer, alors que d’autres nous empoisonnent et nous détraquent. Alors la solution est simple on exige du bio pour son estomac. Il faut exiger du bio pour le cœur. Voilà le clip Happy » de Pharrell Williams pour vous mettre dans l’ambiance 🙂 Références [1] Prévenir le cancer [2] Voir Le défi Positif » par le Dr Thierry Janssen. [3] Happiness & health [4] Maruta T.,Colligan Malinhoc M., Offord Optimism-pessimism assessed in the 1960s ans self reported health status 30 years later », Mayo Clinic Proceedings, 2002,77, [5] Cohen S., Doyle Turner Alper Skoner Emotionnal style and susceptibility to the common cold », Psychosomatic Medicine, 2003, 65, [6] Estrada Isen Positive affect facilitates integration of information and decreases anchoring in reasoning among physicians », Organizational Behavior and Human Decision Processes, 1997, 72, [7] Veenhoven R., Healthy happiness effects of happiness on physical health and the consequences for preventive health care », Journal of Happiness Studies, 2008, 9, Source
La santé et le bonheur sont-ils à votre portée? DEPUIS qu’ils existent, les hommes et les femmes imparfaits aspirent à la santé et au bonheur. Bien qu’il s’agisse sans conteste de deux désirs primordiaux des humains, ces espoirs se sont révélés chimériques. On a beaucoup réfléchi et donné de conseils sur la question. Le docteur Dennis Jaffe fait remarquer “Le secret d’une santé durable ou de la guérison est souvent lié à notre comportement.” Abraham Lincoln faisait un jour cette réflexion “Les gens ont à peu près la santé qu’ils ont décidé d’avoir.” Êtes-vous du même avis? Désirez-vous vraiment être heureux? Dans quelle mesure notre bonheur dépend-il de notre santé? Les hommes ont tout essayé pour trouver le bonheur, et la liste des domaines explorés semble sans fin. Ils ont scruté la philosophie, la psychologie, la métaphysique. Dans leur quête du bonheur, certains se sont plongés dans la science, les arts ou la musique. Il n’en demeure pas moins que le bonheur est en grande partie lié à la santé. Comme le veut la sagesse populaire “L’essentiel, c’est d’avoir la santé.” Poursuivant dans ce sens, nombre de gens ont exploré un large éventail de théories plus ou moins orthodoxes traitant de la santé. La plupart des bibliothèques offrent une gamme inépuisable de régimes alimentaires et de traitements des maladies. Voici ce qu’en disait le docteur Paul White, spécialiste renommé des maladies cardiaques “De nombreux livres ont été écrits sur la santé, et cela dès l’Antiquité. L’un des meilleurs, intitulé Du régime, date d’il y a près de mille ans.” Pourtant, la quête de la santé et du bonheur s’est révélée décevante pour la majorité des humains. Alors que notre civilisation est dite si avancée, cela ne vous étonne-t-il pas? Manifestement, la science n’a mis fin ni à la maladie, ni au vieillissement, ni à la mort. Peut-être serez-vous davantage surpris encore d’apprendre que nous ne savons toujours pas mesurer le bonheur ou même en proposer une définition satisfaisante. Dans son ouvrage “Sur le bonheur”, Pierre Teilhard de Chardin en arrivait à cette conclusion “Sur ce sujet les livres, les enquêtes, les expériences individuelles et collectives se succèdent, pathétiquement, depuis des siècles sans parvenir à faire l’unanimité. Et, en fin de compte, pour beaucoup d’entre nous, la conclusion pratique de tous ces débats est qu’il est vain de chercher davantage.” Est-ce là votre conception du bonheur? Réfléchissez en toute objectivité à ces quelques questions, certes très personnelles. Êtes-vous vraiment heureux actuellement? Ou pensez-vous qu’on ne puisse accéder au vrai bonheur qu’au ciel? Avons-nous de bonnes raisons d’espérer connaître la santé et le bonheur, et cela sur la terre?
que la santé et le bonheur vous accompagnent